Politique anti-plagiat

Aucun texte ne pourra être publié si son auteur ou autrice commet des actes répréhensibles tels que le plagiat, l’autoplagiat, l’attribution incorrecte d’auteur(e) ou de source. À cet égard, Ciencia Jurídica précise ce qui suit :

Comme indiqué dans la section « Directives à l’intention des auteur(e)s », les textes publiés dans Ciencia Jurídica doivent être originaux. Ainsi, le plagiat — c’est-à-dire la reproduction de textes ou l’utilisation de données déjà publiées, diffusées ou présentées, ou encore de fragments de textes déjà publiés par des tiers sans mention adéquate de leur origine — constitue une faute éthique grave et est considéré comme une fraude scientifique. Cela inclut également ce que l’on appelle l’autoplagiat, soit la réutilisation, par l’auteur(e), de contenus déjà publiés par lui-même ou elle-même sans indication de leur origine. Le recyclage d’un texte — c’est-à-dire la présentation d’un travail entièrement publié antérieurement dans un autre média, sans différence substantielle identifiable entre les deux textes — est également considéré comme une faute éthique grave.

Le plagiat peut être total, partiel ou minimaliste, selon le degré inverse d’originalité du texte proposé à la revue. En particulier, Ciencia Jurídica précise qu’elle considère comme plagiat les situations où le contenu du texte présenté, ou une partie significative de celui-ci, correspond à des contenus déjà publiés, diffusés ou présentés, même formulés différemment, sans identification claire de la source correspondante.

Ciencia Jurídica dispose de deux mécanismes pour vérifier que le texte soumis est inédit et que le pourcentage de texte recyclé respecte les limites fixées dans les « Directives à l’intention des auteur(e)s » :

  1. Dans la Lettre d’autorisation de publication, l’auteur(e) déclare par écrit qu’il/elle n’a pas soumis le même texte à d’autres revues ou éditeurs pour évaluation et/ou publication simultanée.

  2. Le logiciel Copyleaks, qui permet d’identifier le pourcentage de similitude du texte avec des sources déjà publiées, ainsi que l’usage éventuel d’intelligence artificielle non déclaré. Cette vérification est réalisée au cours du processus éditorial.

Sont également contraires à l’éthique éditoriale : la falsification des sources d’information, les références à des sources inexistantes, l’absence de vérification ou d’identification des sources. Toute source d’information devra être présentée de manière exhaustive et Ciencia Jurídica se réserve le droit de vérifier, pendant le processus éditorial, l’existence de chaque source ainsi que la correspondance des citations avec la pagination mentionnée.

La soumission d’un article au Comité de rédaction de Ciencia Jurídica implique l’engagement exclusif et absolu de l’auteur(e) de ne pas le soumettre simultanément — en tout ou en partie — à une autre publication, sur support physique ou numérique, pendant toute la durée du processus d’évaluation par Ciencia Jurídica. L’auteur(e) ne pourra pas non plus retirer sa proposition d’article après l’avoir soumise à évaluation, sauf pour des raisons graves et imprévues, qui devront être dûment communiquées au Comité de rédaction.

La détection des conduites contraires à l’éthique décrites ci-dessus, ou d’autres de nature similaire, relève de la responsabilité du Comité de rédaction et du Secrétariat technique de Ciencia Jurídica. Les évaluateurs/trices anonymes, en tant que spécialistes du domaine, peuvent également se prononcer sur ces aspects. Une fois la conduite suspecte détectée, le Comité de rédaction informera l’auteur(e), en décrivant les faits et les raisons pour lesquelles ceux-ci sont considérés comme une infraction à l’éthique. L’auteur(e) pourra présenter des observations ou explications, qui seront examinées par le Comité avant toute décision ou sanction quant au devenir de l’article.

Le Comité de rédaction se réserve le droit d’informer les éditeurs de toutes les publications concernées par des pratiques non éthiques des détails relatifs à l’identité des personnes impliquées, à la manière dont les faits ont été découverts et aux conditions dans lesquelles ils ont eu lieu.